Elle date du XIVe siècle et est déclarée Monument National. Au départ, elle fut érigée en suivant les modèles gothiques. Au XVIe siècle, sa construction fut modifiée et elle devint une église imposante columnaire, conservant malgré tout le portail, les chapelles et le cloître de la première construction.
Le sanctuaire conserve des vestiges du médiéval et un agrandissement du XVIIIe siècle. Il abrite un retable plateresque magnifique, une uvre d'Andrés de Araoz. Une niche accueille Notre-Dame de Itziar, patronne des navigateurs.
Léglise, de style néoclassique, fut dessinée par l'architecte Silvestre Pérez. Ses travaux commencèrent en 1803 et s'achevèrent en 1843. Le maire de l'époque, Cosme Damián Churruca y Elorza, en posa la première pierre. Le matériel utilisé à l'extérieur est la pierre de taille venant du massif d'Arno et d'autres montagnes voisines. Signalons le porche dont la façade est composée de six colonnes doriques.
Monument du haut médiéval déjà cité dans divers documents du XIe siècle et situé sur le Chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle par la côte. À côté, nous avons le couvent de Sasiola. Il existait déjà au XVIe siècle, mais il connaît aujourd'hui un état de détérioration certaine.
La construction de la nouvelle église paroissiale de San Bartolomé dura 25 ans, son inauguration remontant à l'année 1716. Sa tour baroque se démarque par sa monumentalité. L'autel majeur de conception classique, avec des éclats baroques, est un ouvrage de Justiniani et d'Ugartemendia.
Avec des références qui remontent au XVe siècle, nous avons l'église de Nuestra Señora de la Asunción dans le quartier d'Azpilgoeta. Nous pouvons observer sur l'un de ses murs une porte primitive à arc en plein cintre.
Elle date du XIIe siècle et conserve à l'intérieur une statue romane de Saint Pierre. À noter également son retable majeur réalisé au XVIe siècle ainsi qu'un orgue construit au XVIIe siècle. Elle est bâtie comme église columnaire en forme de croix latine et à l'intérieur nous pouvons observer les chapiteaux corinthiens et doriques.
Les premières nouvelles sur l'église de Santa María la Real de Soraluze remontent au XIIIe siècle. Son retable est néoclassique, conçu par Ventura Rodriguez. Son porche attire l'attention car il s'agit d'un spécimen de l'art basque populaire construit en 1666 et qui combine des motifs de la Renaissance avec des motifs baroques.
Sa construction est très ancienne puisque ses origines remontent au XIe siècle. Elle comprend une seule nef avec une tour de style herrérien (style de l'architecte Juan de Herrera). Son autel majeur est baroque avec une excellente sculpture de Notre-Dame du Rosaire. Son retable abrite une Vierge au teint mat.
Construite au XVIe siècle, elle fut agrandie et réédifiée en 1602. Au-dessus d'un grand arc gothique, la tour des cloches fut reconstruite en 1738 avec une grande tour churrigueresque. Sa nef est rectangulaire, couverte de voûtes à nervures. L'orgue, surmonté par Sainte Cécile, est baroque et date du XVIIe siècle.